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5. Sur la piste du point G

Existe-t-il, n’existe-t-il pas ? Si oui, où ? Et est-ce que chaque femme peut jouir d’orgasmes multiples par simple contact ?

Pour commencer, un peu d’informations sur le légendaire Graal des points culminants éternels : Le point G, également appelé G-zone ou G-spot, doit son nom à Ernst Gräfenberg, un médecin allemand qui, en 1950, a écrit dans un article qu’il s’agissait d’une « zone érogène située dans la paroi antérieure du vagin, le long de l’urètre, qui se gonfle lors de la stimulation sexuelle ».

Cette zone se situe à environ cinq centimètres de l’entrée du vagin, sur la paroi antérieure du vagin. Elle a la forme d’une demi-sphère aplatie d’environ deux centimètres de diamètre, avec un creux en son centre. Une caractéristique du point G est que le tissu à cet endroit est nervuré ou dur au toucher, alors que le reste de la paroi vaginale est lisse. Sa forme, sa taille et sa sensibilité peuvent varier considérablement.

Un orgasme en un rien de temps ?

Nous allons te décevoir un peu : Chez certaines femmes, la stimulation du point G conduit certes très rapidement à l’orgasme, mais d’autres la trouvent peu ou pas excitante. Il est vrai que chez la femme, le point G ne devient une zone érogène active qu’à partir d’un certain degré d’excitation.

Cela ne sert donc à rien. Avant d’atteindre l’orgasme du point G tant attendu, il faut parfois faire beaucoup de travail préparatoire et inclure d’autres zones érogènes. Mais ici aussi, la règle est la suivante : le chemin est le but !

Pour ce faire, nous avons en réserve pour toi quelques compagnons vraiment efficaces.

Avec ou sans partenaire : c’est la meilleure façon de découvrir le point G.