Soirée pegging avec mon chéri
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Ce soir, j’ai très envie de faire plaisir à mon chéri. Cette semaine, il m’a souvent sodomisée, et lui comme moi y avons pris énormément de plaisir, d’autant plus que je nous surprends chaque fois un peu plus tellement je deviens à l’aise avec ça. Mais ce soir, c’est moi qui ai envie de prendre son petit cul.
Alors qu’il me fait l’amour depuis un moment déjà, je décide de lui demander de se mettre à quatre pattes. Il ne se fait pas prier, car il a très bien compris ce que j’avais en tête et qu’il en a lui aussi très envie.
Pendant qu’il se met en place, je vais farfouiller dans la table de chevet pour sortir tout ce dont j’ai besoin : du lubrifiant, le harnais et un gode. Ne sachant pas lequel prendre, je lui demande de quoi il a envie. Il hésite un instant puis me donne sa réponse : ce sera le Magnum pour ce soir. Je l’enfile donc dans le harnais, que je passe autour de mes cuisses.
Depuis le temps, j’ai appris à apprécier de porter un harnais, au bout duquel trône fièrement ce dildo bien droit qui ne faiblit jamais. Je suis très excitée par tout ce que cela me permet de faire, tout le plaisir qu’il me permet de donner à ce cul complètement offert.
Je reviens me placer derrière lui et commence à caresser ses fesses. Il attend sagement, la tête appuyée sur un oreiller, mais je sais qu’intérieurement, il trépigne d’impatience. Je décide alors de faire monter un peu plus le plaisir et l’embrasse sur les fesses. Des deux mains, je les écarte un peu et approche ma langue de son petit trou. Du bout de la langue, je commence à le taquiner, et je vois son anus se contracter à chaque fois. J’adore. Puis je me fais un peu plus pressante, car je sais qu’il aime beaucoup ça. Je ne le vois pas, mais je devine qu’il se mord la lèvre comme il le fait souvent quand il prend du plaisir.
Je finis par me redresser, attrape la bouteille de lubrifiant et fais couler un peu de liquide dans ma main avant d’enduire le dildo. Puis je passe ma main entre ses fesses pour le lubrifier également. J’en profite pour faire quelques pressions avec mon majeur sur son anus tout en continuant à « branler » mon dildo. Bien que cela ne me fasse rien sur le plan physique, ça a le don de m’exciter énormément. J’adorerais en avoir une vraie pour faire encore mieux l’amour à mon homme.
Après quelques secondes, je viens placer mon faux sexe contre son cul. J’enserre le bout dans ma main, ce qui me permet d’avoir un contact avec ses fesses afin de sentir les contractions de ses sphincters. Puis je commence à faire de tous petits va-et-vient, sans vraiment rentrer à l’intérieur, mais juste pour l’exciter, parce que j’adore quand c’est lui qui me fait ça.
Quand je sens qu’il est déjà un peu plus décontracté, j’appuie un peu plus fort, jusqu’à faire rentrer le gland du sextoy dans son cul, puis je ressors, et je recommence plusieurs fois. De sa main droite, il commence à se branler, et moi, je sens que je mouille de plus en plus dans mon harnais. De légères rougeurs commencent à gagner ses épaules, preuve que l’excitation est déjà bien montée en lui.
Je lui demande si ça va pour m’assurer que je n’y vais pas trop fort, trop rapidement et il hoche la tête pour m’indiquer que je peux continuer. Je m’enfonce alors un peu plus profondément en lui, les mains bien accrochées à ses hanches. Il gémit, ça m’excite encore plus. Je commence alors à faire de longs va-et-vient, très lents, pour lui faire apprécier toute la longueur de mon gode.
Avec l’entraînement, mes hanches sont devenues plus souples et mes coups de reins sont de plus en plus naturels. Je jette un coup d’œil à la fenêtre pour voir notre reflet : lui, complètement abandonné à moi, et moi, qui prend un plaisir immense à le sodomiser.
J’accélère un peu le rythme, en faisant des mouvements plus petits, et lui se branle de plus en plus vite pour se calquer sur mon rythme. Puis, d’un seul coup, je m’enfonce complètement en lui. Il gémit, ce qui m’encourage à recommencer, et me voilà à le sodomiser profondément, faisant claquer son cul contre mes cuisses. Mes seins se balancent en rythme et je sens que je mouille encore plus.
Ses jambes commencent à fatiguer et il me demande de se retourner. J’accepte avec grand plaisir, trop heureuse de pouvoir le voir prendre du plaisir pendant que je le baise. Il se met donc sur le dos et cale un oreiller sous ses fesses pour les remonter. Avant de rentrer à nouveau dans son cul, il m’attrape par la tête et m’oriente vers son sexe dur, m’intimant de le sucer.
Je ne me fais pas prier, et tandis qu’il tient son sexe bien droit, je l’entour de mes lèvres, enroule ma langue autour de sa queue et descends ma tête jusqu’à ce que je le sente au fond de ma bouche. J’appuie un peu plus en faisant de légers va-et-vient pour que son gland entre dans ma gorge. Quand un léger haut-le-cœur se fait sentir, je me retire, et recommence l’opération deux ou trois fois avant qu’il me supplie de reprendre son cul.
Je m’exécute sans tarder et il continue de se branler. J’ai plus de mal à tenir dans cette position qui me fait mal aux cuisses, mais je sais à quel point il adore ça, alors je tiens bon. J’appuie mes mains sur les côtés de ses hanches, en remontant ses jambes au passage pour libérer un peu plus son cul et le pénétrer plus profondément.
Sous mes coups de reins, je le vois sursauter de plaisir. A chaque fois, je crois qu’il est sur le point de jouir, mais je dois seulement avoir trouvé le bon angle pour stimuler sa prostate. Il gémit un peu plus, et quand je baisse les yeux, j’ai l’agréable surprise de voir un filet de sperme couler le long de sa verge. Cela m’excite encore plus. J’adore savoir que je suis capable de le faire éjaculer sans le faire jouir. L’orgasme s’annonce alors encore plus explosif.
D’une voix saccadée, il me supplie de ne pas m’arrêter. Je devine qu’il n’est pas loin de jouir et je me redresse, prend appui sur mes jambes et tente de maintenir le rythme. J’ai chaud, mes cuisses tirent, mais j’adore ça, car à ce moment-là, tout ceci est synonyme de plaisir ultime. Un plaisir rare que peu de personnes doivent connaître et qui nous rapproche beaucoup.
Nos souffles s’accélèrent, nos cœurs battent de plus en plus vite et je sais qu’il n’en peut plus, qu’il meure d’envie d’exploser. Je l’encourage et au bout de quelques secondes, il cède au plaisir, secoué de spasmes. Son sperme jaillit de son sexe dur et le recouvre. J’imagine la chaleur de ces jets s’ils m’avaient recouverte moi et cela m’excite encore plus. Ses cuisses se resserrent autour de moi et alors que son orgasme commence à se dissiper, ses jambes sont secouées de tremblement, signe que j’ai réussi à stimuler sa prostate convenablement lors de cette pénétration.
Il ouvre les yeux et je le regarde, souriante, heureuse de lui avoir procuré autant de plaisir, heureuse que l’on puisse partager ce genre de moments, si intimes. Son cul est un véritable cadeau qu’il m’offre, et je m’efforce de lui donner autant de plaisir que possible.